Par CW

La bataille présidentielle à la tête de la Fecavolley a failli laisser des séquelles. Et pourtant, Organiser une compétition pour une nation, est une occasion idoine de part la loi du domicile pour s’illustrer , une chance de médaille. Le scénario a failli tourner en bourrique, jusqu’à ce que le secrétaire général à la présidence de la République du Cameroun, Ferdinand NGOH NGOH ne siffle la fin de la récréation.

En effet, une correspondance envoyée au premier ministre, chef du gouvernement, datant du 24 mars, du Président Serge Abouem s’insurgeait contre l’organisation de la compétition. Le président élu le 4 février à l’hôtel Hilton, redoutant la qualité du président Bello Bourdane, élu le 20 janvier et à l’origine de l’initiative (candidature du Cameroun) demandait alors au chef du gouvernement de surseoir à l’organisation de la dite compétition.

“J’ai l’honneur de porter à votre très haute attention que la coupe d’Afrique des nations de volley-ball seniors dames projetée pour être organisée par un certain Bello Bourdane qui se prévaut de la qualité de président de la fédération camerounaise de volleyball n’est pas d’actualité au sein de la Fecavolley” affirmait il d’entrée , avant que sa requête, ne soit ne malheureusement pas validée, puisque qu’une note du secrétaire d’État à la présidence de la République datant du 30 mars et envoyée du ministère des sports, va entériner l’organisation de la dite compétition. Compétition qui se tiendra à Yaoundé en Octobre prochain. Mais sous quel exécutif?
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